Certes, vu toutes les avanies que nous autres Français, supportons actuellement malgré l’élection du sauveur Emmanuel, cette gueguerre grammaticale pourrait faire figure de dérivatif que l’on nous impose.
Pendant ce temps nous ne parlons pas de ce qui fâche...
Evidemment, on trouvera toujours quelqu’un ou quelqu’une pour vouloir défigurer l’écriture, estimant que écrire « intelligent » c’est injuste pour celles qui le sont, « intelligentes » et donc qu’on doit écrire « intelligent-e-s ».
Est-ce qu’on doit aussi écrire « enculé-e-s » ?