Philippe VERGNES 21 novembre 2017 14:07

@ Ciriaco,


Justement, le problème de la différence, « évidente » dites-vous, entre le fait que des concepts soient appliqués ou communiqués et les implications sociales que les techniques peuvent produire, j’en parle dans divers articles. Notamment celui intitulé « Le mystère Freud : Freud Vs Racamier ou l’énigme de la perversion narcissique » où je présente le livre de M. Hurni et G. Stoll d’où l’intérêt également de communiquer sur ces sujets pour dévoiler certains mythes mensongers qui gangrènent notre société au delà de tout ce que l’on peut imaginer et c’est peu de le dire, car la psychanalyse a de très fortes répercussions sociales puisque elle a fortement infiltré notre inconscient collectif. A titre d’exemple sur ces implications, lire notamment : « Alerte en protection de l’enfant : ce ’petit pervers polymorphe’ que le NOM souhaite rééduquer ».

Si vous êtes plutôt intéressé par l’histoire d’une connaissance, commencer donc par l’histoire des connaissances de la psychanalyse freudienne en lisant le livre cité supra. Je pourrais ensuite vous conter l’histoire de la psychanalyse groupale et familiale, une psychanalyse sans divan, telle que Racamier a pu la concevoir en corrigeant les apories de la psychanalyse « traditionnelle » ou « orthodoxe ». J’appelle « corriger les apories » le fait que la psychanalyse sans divan à infliger l’épreuve de réalité à la psychanalyse « orthodoxe ». Et pour « ferrailler » depuis longtemps sur le sujet, je puis vous certifier que les psychanalystes « traditionnels » ont beaucoup de mal, lorsque ça ne leur est pas impossible, à réaliser ce simple constat.

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