Eric F Eric F 25 novembre 2017 11:46

@Jason
en fait la part des prélèvements obligatoires représente 46% du PIB (en baisse pour les entreprises, en hausse pour les particuliers) , les 57% de dépenses publiques étant complétées par l’emprunt.
Dans les années 60, le taux de prélèvements obligatoires était de l’ordre de 30%, alors même que le taux d’imposition sur le revenu des tranches supérieures était plus élevé qu’aujourd’hui, la contribution des très riches a donc diminué en proportion.

Le caractère injuste de la taxe d’habitation (tout comme de la taxe foncière qui devra tout autant être réformée) provient d’une part de critères dépassés et ne correspondant pas toujours au vrai standing actuel, et d’autre part de la forte différence selon les municipalités, du fait des autres recettes et du montant des dépenses locales (sociales, équipement). Une barémisation nationale serait préférable.


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