@Io Camille Kaze
Je ne peux pas être à votre place, mais j’observe désormais tous les jours les déesses (qui ne se l’avouent pas encore tout à fait) de mes amies,
ici.
Je vois leurs stigmates, toutes, les trahisons, violences et autres « joyeusetés » qu’elles ont vécu et subi.
J’essaye d’y faire figure de discret St Bernard, pas plus, pas moins.