Ici, comme avec Georges Steiner, on sait tout de Heidegger sauf ce qui l’a préoccupé toute sa vie, qui est ici salopé vite fait en « rêveries mystiques et quelques explorations d’ordre néo-mythologique ». Et forcément on ne parle pas de Mattéi, d’Aubenque ou d’autres vrais lecteurs de Heidegger, au profit de quelque correcteur de Heidegger.