velosolex velosolex 13 décembre 2017 11:32

@L’Astronome
Les temps sont durs pour les humoristes, de se voir doubler par tout un tas de pékins qui ne sont même pas des professionnels , et qui font de l’humour sans même sans apercevoir. 

Brassens avait la qualité et la grâce, dans son chanson « le pornographe », de se faire le chantre de l’indignation et de la vertu, devant la généralisation des sautes au paf, qui portait préjudice aux filles de joies. 
Y a ces gamines de malheur, 
Ces gosses qui, tout en suçant leur, Pouce de fillette,
Se livrent au détournement, De majeurY a ces p’tites bourgeoises faux culs, Qui, d’accord avec leur cocu, Clerc de notaire,

Au prix de gros vendent leur corps, Leurs charmes qui fleurent encor, La pomme de terre.

Lors, délaissant la fille de joie, Le client peut faire son choix, Tout à sa guise,

Et se payer beaucoup moins cher, Des collégiennes, des ménagères, Et des marquises. et, vénalement, Troussent leur layette.


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