@Rincevent
bonjour,
« La femme de l’alcoolique » en effet, n’a pas un pb à cause de son alcoolique de mari, mais a un mari alcoolique à cause de son pb perso.
C’est assurément un problème de bénéfices secondaires : le relatif confort de la position de victime. Mais quel est sur le long terme, le bénéfice final escompté ? Ne pas grandir ? Peur de la liberté ? N’oublions pas qu’à la base, il y a un déni. Ces bénéfices secondaires sont autant de renforcements de ce déni, et dont elle ne peut se passer.