Francis, agnotologue JL 9 janvier 2018 18:49

Je viens de lire sur Agoravox une chose étonnante.
 
 Dans l’article Nommer la perversion dans une société néolibérale déshumanisée, l’auteur PV a écrit : ’’Sans entrer dans les détails d’une étude étymologique du terme et de ses différentes acceptions au fil du temps, la perversion se reconnait cliniquement par un double déni : dénis de la différence des sexes et des générations ou, dans le cas de situation d’emprise, d’un déni du déni qui se matérialisent par la transgression des interdits civilisateurs fondamentaux’’
 
Suite à une objection, PV précise : ’’« Classiquement, [le déni] est défini comme une défense psychique, mise en jeu par le sujet, qui consiste à nier l’existence d’une réalité qui le fait souffrir. Dans le cas de la position perverse, le déni devient une stratégie permettant d’établir l’emprise sur l’autre, tout en niant par une illusion mensongère, l’intention destructrice mise en jeu. A ce propos, nous parlons du déni de déni. »
 
Question : Un simple déni de la différence de génération n’est pas pervers ? La pédophilie homosexuelle serait-elle une pratique légitime et normale ?
 
 On frémit devant tant d’audace  !


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