eric 6 janvier 2018 00:13

Lu en travers, on découvre quel la moitié de la population au moins ressort de l’aide sociale. 16 millions de citoyens inscrit est il écrit. Bien sur cela ne veut pas dire grand chose. Il doit s’agir, on l’espère de 16 millions de personnes. Si on ne compte que les adultes, ( en âge d’être citoyen à part entière), ou alors cela voudrait dire qu’à peut prêt tous le pays a besoin d’un soutien de l’état. Mais 50% de gens qui ne peuvent pas survivre sans argent public dans un émirat pétrolier, faut le faire...Même les russes s’en tirent mieux à cours égal....

Mais on y viendra. C’est une caractéristique de tous les pays tenant de ce genre de politique. Et ce, même quand ils naviguent sur une mer de pétrole. Il n’y a pas d’exception aux faillites socialistes. Ils y a des durées et des degrés de misère variables.

En 2005, le parti à crée une réserve militaire pouvant comprendre jusqu’à 1,5 millions de personnes. SI on ajoute les forces armées, les forces de l’ordre et les milices et autres escadrons de la mort du régime, le fait d’avoir mis, sur le papier, 600 000 personnes dans la rue, pour Zamoa, c’est un constat d’échec de la mobilisation.

M’enfin, à quoi bon perdre son temps. C’est un article d’Ignacio Ramonet. UN fondateur d’ATTAC, c’est à dire une organisation « démocratique » qui a été crée comme une propriété privée de ses fondateurs dirigeants sans possibilité pour les adhérent de prétendre au pouvoir décisionnaire, même par le vote.....

Même dans un groupe privé, les patrons rendent des comptes aux actionnaires, aux clients et aux collaborateurs...

On devine ce qui peut le séduite tellement dans le modèle démocratique Madurien....

Il est l’auteur du slogan « une autre vie est possible ». Mais lors d’un porto allègre quelconque, lui est ses sbires on immédiatement précisé que bien sur , cela impliquait au préalable la destruction du monde ancien qui ne favorisait pas ce changement... Ce qui était très difficile vu la force de la réaction

C’est bien le maître des bolivariens qui incriminent en permanence les autres pour expliquer leurs échecs...

C’est possible, mais pas, mais c’est pas notre faute...

N’étaient les souffrances du peuple Vénézuélien et de quelques rares autres encore souis à ces délires de par le monde, il y aurait de quoi rire.


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