J’ai appris seulement cette année que mon beau-père avait lui-même été élevé par un homme qui fut l’ami de Péladan, lui-même ami de René Guénon. Très freudienne, je me cramponnais à la psychanalyse dite cartésienne. Mais en 2003, des événements d’une puissance synchronistique extraordinaire (juste après le décès de mon père) m’ont fait faire un virage à 180 degrés. Lire : Jean-François Vézina.