Philippe VERGNES 14 janvier 2018 23:31

@ JC_Lavau,


Bien vu, mais c’était en réponse à ton : « Tu ferais un bon freudien, toi ! »

Serais-tu de ceux qui perdent toute notion de temps au point d’inverser les rapports de causalité ? Parce sur le coup, la place est déjà prise et tu risques alors de rentrer en concurrence avec un autre intervenant qui « chouine » partout comme une pleureuse que je l’ai « psychologisé » alors qu’il a simplement été jugé du jugement qu’il a lui-même émis en parlant d’un sujet dont il ignore tout, si ce n’est d’être un excellent cas d’école. Le problème, c’est que maintenant l’étiquette lui colle à la peau et ça l’emmerde profondément. La prochaine fois, il fermera sa gueule...

Ceci dit, si tu me lisais bien, tu aurais compris il y a longtemps que je tords le cou à de nombreux concepts freudiens sans pour autant cracher dans la soupe et jeter le bébé et l’eau du bain avec. Pour ton info en rapport avec le sujet de cet article : « Le mystère Freud : Freud Vs Racamier ou l’énigme de la perversion narcissique » et sa suite « L’inceste, l’Œdipe et la perversion narcissique selon Paul-Claude Racamier ».

Après, que tu puisses conchier la psychanalyse, c’est ton problème, ce n’est pas moi qui te jetterais la première pierre, surtout lorsque l’on connaît les « frasques » freudiennes, mais je lui reconnais le droit à l’erreur compte tenu des circonstances très particulières dans lesquelles il a développé sa discipline qui compte pour moi comme l’un des quatre grands courants des Sciences humaines ( cf. « Se comprendre ou s’entretuer, question de logique ? »). En fait, comme quelqu’un qui n’appréciait pas la psychanalyse a pu en convenir à la suite d’un long échange courtois que j’ai pu avoir avec lui, le génie de Freud n’était peut-être pas où on le place habituellement, car comme l’écrit C. G. Jung dans son livre Ma vie, « il a donné à notre civilisation un élan nouveau qui consiste dans sa découverte d’un accès à l’inconscient. En reconnaissant le rêve comme la plus importante source d’informations sur les processus de l’inconscient, il a arraché au passé et à l’oubli une valeur, qui semblait irrémédiablement perdue. Il a prouvé empiriquement l’existence d’une psyché inconsciente qui auparavant n’était que postulat philosophique [...] »

Et de ce point de vue là, il faut savoir rendre à César, ce qui appartient à César. Il me semble que tu es toi-même très attaché à la reconnaissance, je me trompe ?

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