Christian Labrune Christian Labrune 12 janvier 2018 10:55

à l’auteur,

Votre article relève au mieux du surréalisme, au pire du délire interprétatif.
Le chef du Mossad déclarait, il doit y avoir trois jours, en manière de provocation savamment calculée : « Nous avons en Iran des oreilles, des yeux, et pas seulement ».

Si les Iraniens persévèrent à ménager leur couloir vers la Méditerranée, tous les responsables politiques israéliens sont d’accord là-dessus, il faudra intervenir d’urgence : une centaine de milliers de missiles du Hezbollah au nord du Golan ne leur laissent pas d’autre choix.
C’est ce qui fait que Bachar el-Assad, qui a tiré les conséquences logiques des récents raids israéliens sur son territoire, en vue d’y détruire des dépôts d’armes, paraissait refuser ces derniers jours l’installation de bases iraniennes sur son territoire. S’il l’acceptait, ce serait la guerre ; son pouvoir déjà chancelant n’y résisterait pas. Les Russes également font pression sur les Iraniens.

Un gros scandale se prépare en Amérique : la précédente administration, qui avait supplié l’Iran de faire au moins semblant, jusqu’à la signature des accords de Vienne, de nourrir des intentions pacifiques, avait empêché d’aboutir une enquête sur des financements occultes du Hezbollah, à hauteur d’un milliard de dollars, et résultant du commerce de la drogue. On peut faire confiance à Trump pour que tout cela soit rapidement mis à plat et rendu public.

Le régime iranien va tomber dans les prochains mois. Avec ou sans aide extérieure, les Iraniens qui ne veulent plus de soutien à Gaza ou d’aventure hégémonique au Moyen-Orient, qui réclament les têtes de Rohani et de son Führer, finiront par balayer les crapules islamonazies du régime, et l’odieuse complicité objective d’un pays des droits de l’homme comme la France, qu’un Macron s’emploie à déshonorer, n’y changera rien.

 


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