eric 16 janvier 2018 12:29

@Paul Leleu
Il est en effet permis de rêver. La République de Ferry et Gambetta, De Zola et de Sand, approuva la remise en ordre raisonnable après la prise de pouvoir à Paris par des minorités factieuses contre le gouvernement légitiment élu de la France.
Le bilan est désormais connu. Pour la commune, entre 6 000 et 7 500 morts, dont environ 1 400 fusillés. Les Versaillais déplorent 877 tués, 6 454 blessés et 183 disparus dans les combats livrés du 3 avril au 28 mai.
On eut en conclure, que les soldats de la république tiraient mieux.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Commune_de_Paris_(1871)#Mobilisation_des_deux_camps

Mais là, on est dans du « à chaud ». L’ardeur des combats, tous ça...

A froid, il y a eu 93 condamnation à mort dont 23 exécutées réellement.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Terreur_(R%C3%A9volution_fran%C3%A7aise)
On est loin des 100 000 morts au bas mot et à tête reposée de la terreur. Les Vendéens auraient ils sauvé des vies ? Sans doute ! Du reste combien de fois ont ils refusé de tuer les blessés ou prisonniers républicains.

Il y a eu 2,5 millions de recensés dans la garde nationale. Avec 15 sous de salaire par jour et une avance pour l’équipement, en période de crise économique, et qui plus est de révolution, c’est clair qu’on a du manquer de sou plus que de volontaires ; L’origine des assignats Peut être... A l’époque, on est pas loin du salaire d’un maçon de mémoire.

Jusqu’à la fin des années 70, on a eu des gouvernements de droite. Il est vrai qu’à partir de 81, l’histoire enseignée dans nos écoles par des enseignants massivement engagés à gauche, mais privé alors de tout contrôle politique non super idéologisé, est un peu partie en vrille...


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