Je lis plus haut, dans une intervention de l’auteur de l’article :
"[...] tout est une question
d’organisation et il est clair qu’elle fait défaut cette organisation
dans la dissidence en dépit des tentatives de Soral et Dieudonné.«
Si après cela un certain nombre de gros naïfs n’ont toujours pas compris dans quel type de sauce répugnante on les aura fait mijoter sur cette page, c’est vraiment qu’ils sont incurables.
Il ne leur restera plus, bientôt, qu’à inverser le négatif du salut hitlérien, qu’on appelle, je crois bien, »quenelle", commun à ces deux héros d’une dissidence de merde, pour oser enfin le geste primitif dans sa pure authenticité. Alors, ils se retrouveront directement à la case départ, c’est-à-dire à la fin des années 30. Il restera à trouver un remplaçant au moustachu mais en attendant, on pourra toujours gueuler : Heil Soral !