JC_Lavau JC_Lavau 13 février 2018 16:01

A 14 ans, l’écriture des filles se distingue radicalement de celle des garçons. Prouvant que non seulement la construction du cerveau est sexuée, mais aussi celle du cervelet. Déjà deux ans auparavant, elles arrondissent les gestes de leurs avant-bras, pour ne pas risquer de heurter plus tard leur seins.

Encore un complot masculiniste et patriarcal ! 
 
Même à plus de septante ans, l’immense majorité des femmes exige des mâles nettement plus grands qu’elles. Oh mais c’est sûrement le résultat d’encore un complot masculiniste et patriarcal !
 
Parfois une est assez lucide pour exprimer qu’elle veut se sentir protégée par un contre-prédateurs crédible, dont la valeur au combat soit évidente.
Et comment évaluent-elles ce contre-prédateurs crédible, dont la valeur au combat soit évidente ? On a fait le test sur silhouettes. Verdict : à la vitesse de leurs réponses, les participantes ont fait la preuve qu’elles se passent du cortex pour évaluer ce qu’elles préfèrent : c’est précodé dans les noyaux gris centraux. C’est à la base de la sélection sexuelle qui a fait la spéciation.

Toutefois les militantes féministes font généralement le choix inverse : elles sélectionnent le mâle le plus faible possible et le plus facile à mépriser et dominer. Evidemment qu’elles sont mécontentes du résultat... Avec une exception sur les 48 heures de leur ovulation, où elles cherchent le sperme du mâle vraiment dominant et bien irrigué en testotérone.

Mais c’est tout de la faute de la construction socio-sociale, bien sûr...

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