Qui lit encore Proust ? Ben moi, quoique découvert très
tard.
Et je me souviens de l’épilogue d’un de ses romans, l’épanadiplose
parfaite (j’ose), puisque le récit commence dans sa chambre et, quelques deux
cents pages plus tard, se termine dans le même lieu.
Une étincelle de lumière sur la barre des rideaux cuivrée
entraîne un zoom arrière au fil des lueurs de l’aube envahissant lentement la
pièce.
Vingt Dieux, fallait l’écrire !