sweach 21 février 2018 14:37

@Debrief
L’exemple de l’huile n’est qu’un exemple qui illustre le principe et l’utilité d’un test, qui forcement sera remis en question surtout à ses débuts.


Pour le cancer on est très loin d’être dans un domaine fiable, reproductible et généralisé.

Mais naviguer à l’aveugle fait parti du lot des oncologues, ils demandent donc des outils de diagnostique qui ne va souvent guère plus loin que la question qui leur est posé.

Qu’elle est le taux de PSA d’un patien ? 

Après il y a lien indéniable entre ce taux de PSA et le cancer de la prostate, l’inefficacité des traitements ne remet pas en question l’utilité et la véracité du test qui permet de voir l’état de la prostate.

Pour le cas de la prostate, il faut s’orienter vers les cellules présentatrices d’anti-gène (CPA) qui ne font pas leur boulot, actuellement un traitement qui consiste à rendre compétent les CPA en laboratoire puis à les réinjecter aux patiens permet de relancer la machine immunitaire et nul doute qu’on finira par comprendre pourquoi elles ne font pas leur boulot.

C’est l’IMMUNOTHÉRAPIES ACTIVES

Effectivement ce genre de technologie à moins de 10 ans, on n’a aucun retour d’expérience, les outils de diags sont mal adaptés, l’industrie se gave au passage mais pourtant les chiffres sont là et ils sont plutôt bon.

Le chiffre clef, c’est le taux de survie, vue que ceux qui ont bien répondu au traitement son toujours en vie, ce chiffre monte d’année en année.

*S’il suffisait d’un geste certain du type « ajouter de l’huile » pour tuer dans l’œuf un cancer naissant réel ou supposé, je dirais, faites passer la bouteille !*
Personnellement je pense que les points de contrôle immunitaire ont ce potentiel mais on est au tout début, puis c’est triste à dire mais quand il ne vous reste que quelques mois à vivre généralement les gens sont moins regardant sur un test fiable à 80%

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