HELIOS HELIOS 1er mars 2018 15:30

... de mon point de vue a moi... (drôle, hein ?)... il n’y a qu’une seule manière de changer un systeme qui ne satisfait pas plus ni moins -c’est le cas aujourd’hui- que la moitié des citoyens, c’est la force !...

Je parle bien ici d’une population a peu pres égale ou légèrement superieure pour ce changement ! 

Vous imaginez immediatement la révolution et comme cela s’est déjà passé, toutes les autres « démocraties » viendraient soutenir l’immobilisme qui sevit egalement chez elles ; rappelez vous ce qui s’est passé en Europe il y a 200 ans seulement...

On peut dans le cas le plus favorable, une sorte de boycot économique de notre pays de la part de nos partenaires -et c’est en partie pour cela que les instances économiques et politiques font tout pour que les pays ne soient pas autosuffisants, mais dépendants les uns des autres, regardez la PAC... et dans le cas le pire, une guerre larvée autorisée par le traité de Lisbonne qui permet a un ou des pays de l’UE de venir en aide a un gouvernement submergé par des evenements incontrolables, justement comme une révolution interieure !!!

Il nous reste maintenant la solution pacifiste... moins violente donc mais tout aussi punitive dans la mesure ou elle risque d’envoyer la petite moitié d’une population a la soupe populaire....

Cette solution c’est le vote, le retour a une démocratie, quel qu’en soient les modalités qui soit plus respectueuse des citoyens... en fait il faut le dire immediatement, c’est que les « representants » ne puissent etre impliqués dans une dynamique de gouvernement pour laisser la chance a toutes les sensibilités de s’exprimer, pas necessairement simultanément, mais au moins sequentiellement avec un temps suffisament court pour que la frustation de l’attente ne génère aucun retour au statu quo actuel.


Cela veut dire en clair qu’il faut que d’une part, l’ensemble de la classe politique se renouvelle plus rapidement et n’ait aucun interet a rester en poste, et pour eviter l’effet « Jupiter » un mecanisme de controle et de rejet soit effectif... donc un mandat unique d’une durée courte pour qu’une decision partisane n’ait le temps de se mettre en place... obligeant les « générations » de gouvernants a s’entendre et oeuvrent pour l’interet général...

Mais ce n’est pas suffisant, il faut que les acteurs principaux de la mise en oeuvre de la politique soient également sanctionnables... d’une part pour donner les moyens a celui qui gouverne de gouverner efficacement, mais egalement pour que ceux qui ne jouent pas le jeu soient remplacés... cela implique que la haute fonction publique doit etre sanctionnable, les prefets, les acteurs semi-etatiques etc....

et enfin, il faut que les citoyens soient beaucoup plus partie prenante de leur destin en ayant recours a des consutations, peu importe la frequence, du moment qu’elle soit en accord avec la temporalité du gouvernement... et sur les sujets structurants de notre societé.



Tout cela est bien beau, ok, a condition d’une part que le pays soit souverain - ie que la decision citoyenne soit applicable (et non pas interdite par une instance exterieure) - mais également qu’il existe un gestion economique de notre pays face a la gestion entrepreunariale, financiere, monetaire pour que ne se crée pas un « pays dans le pays » qui echaperait a la décision collective, mais qu’elle y participe pour sa juste part.



La dedans, l’effet de la monnaie est strictement mineur. Penser l’utiliser, s’il peut etre le grain de sable dans les rouage de la dictature, on peut l’imaginer, bien que son retournement soit dangereux (double tranchant). Caricaturalement disons, cet effet ressemble a la « bite et le couteau » qu’a tres bien mise en scene Chuck Norris dans sa serie, et dont un clip de pub actuel nous le rapelle.

... pour ce que j’en dis...Bonne journée

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe