Durand
2 mars 2018 12:41
@roby
La planche à billet n’est pas un problème quand son usage est décidé par un peuple qui choisi ce moyen pour financer un programme qu’il a lui-même choisi démocratiquement.
Dans ce cas, c’est la nation qui se fait crédit à elle-même. Cela montre que le peuple a confiance en lui-même ainsi qu’en ses capacités de remboursement.
L’argent crée est remboursé mensuellement à la Banque centrale nationale émettrice et détruit.
Ceci a pour fonction de permettre de grands investissements publics sans provoquer de baisse durable du cours de la monnaie.
L’existance d’intérêts liés à la dette d’un État envers sa Banque centrale nationale n’a aucune justification, ni comptables, ni morales... Seul le capital emprunté est remboursé, de la première à la dernière mensualité.
C’est ce qu’a interdit la loi Pompidou-Rothschild-Giscard depuis 1973 en France.
Cette mesure a été étendue par le Traité de Maastricht à l’ensemble des États membres.
Depuis 73, la totalité des intérêts versés aux banques privées est égale au capital emprunté sans qu’un seul centime de ce capital n’ait encore été remboursé !
Les conséquences étaient prévisibles : depuis 73, on ne rembourse plus le capital emprunté aux banques privées mais on rembourse de l’argent crée ex nihilo par ces banques – de la monnaie-clic – par de la monnaie réelle issue de notre travail.
Le capital n’étant plus remboursé (l’état français en est à lancer des emprunts pour rembourser les intérêts de sa dette !...), la dette s’accumule et la nation et notre avenir sont condamnés à demeurer éternellement dépendants des banques privées...
On sort !...
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