Alren Alren 3 mars 2018 15:41

À la différence du malheureux adolescent Patrick Dills harcelé, moralement torturé même, par des policiers bornés, Guillaume Seznec n’a jamais avoué et le corps de la victime n’a pas été retrouvé.

Pourtant il a été condamné par un jury sur le dangereux principe qu’on lui impose comme référence pour décider l’indécidable : « Avez-vous une intime conviction ? » sans rappeler celui qui lui est supérieur : « Le doute doit bénéficier à l’accusé ».

L’obstination ultérieure de juges à ne pas vouloir réviser ce procès est un second scandale.
Il y aura des choses à réformer dans la justice pénale qui ne doit pas être ainsi entre les mains d’une caste fermée.


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