Philippe VERGNES 9 mars 2018 14:20

@ Bonjour PIPO,


« Si vous essayer de leur faire entendre raison vous les confortez dans leur délire. C’est comme si on leur disait :« tu comprends que tu es mauvais ». »

D’un autre côté si l’on ne leur dit rien également, il s’y conforte tout seul dans leur délire. Aussi, je me demande parfois s’il ne serait pas préférable qu’ils « délirent » un bon coup à la vue de tout le monde pour que justement « ce monde-là » ne donne plus foi à ses délires. Car tel est le paradoxe dans lequel se retrouve la proie d’un p.n. : « tu es damné si tu ne fais rien, tu es damné si tu tentes quelque chose ». (cf. double-bind de G. Bateson).

Or, c’est bien la crédulité de l’entourage qui « colmate » le délire du p.n. Aussi, que se passerait-il si cet entourage n’était plus crédule et s’il ne participait plus, à son corps défendant, à la « ligature » du clivage et des dénis que présentent un p.n. ?

Des rares cas que j’ai pu observer, c’est la déroute psychotique, mais en même temps ce serait une « dérives psychopathologiques » pour aller mieux (ou pire selon les cas, c’est en fait très aléatoire). En tout les cas, ouvrir les yeux sur cette réalité permet à l’entourage, et surtout à la victime de ce genre d’individu, de mieux se porter.

Grosso modo !

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