Autre anecdote. sur une route nocturne vers l’Andalousie, j’eu la chance d’être dans la voiture d’un excellent conducteur (il fut en sa jeunesse « taxi » pour le palais royal) à qui je dois la vie. Roulant sur lagauche à du 140, un autocar a voulu nous faire un tête à queue. Deux possibiltés : on freinait : la mort. On accélérait pour le dépasser : sauvés. Voilà ce qui s’appelle être guidé par la « main de Dieu ».