Philippe VERGNES 17 mars 2018 11:11

@ JL,


Délire d’interprétation et injection projective dans toute leur puissance.

« Le concept de « déliaison » n’est pas relatif à la seule psychologie des profondeurs : Je l’ai appris en cherchant à comprendre la définition que Racamier donne de la pensée perverse ; chose que vous n’avez pas faite : faut-il vous rappeler que vous avez toujours soutenu que ce mot désignait le fait de vouloir rompre des liens interpersonnels ? Ce faisant, vous étiez encore dans la déliaison, puisque dans le déni du principe de réalité : je parle du vrai sens de ce mot. »

La définition que Racamier donne de la pensée perverse, ben... c’est celle que Racamier donne dans son livre qui reprend tous les concepts qu’il a établi autour de sa théorie, ET NULLE AUTRE. J’ai recopié cette définition avec exactitude sous de précédents échanges. Définition que vous avez combattu, car elle allait à l’encontre de votre interprétation. Interprétation d’autant plus délirante qu’elle pervertit le sens que vous donnez à la pensée perverse et en inverse totalement les valeurs. Ainsi, votre définition parle pour vous : en inversant les valeurs de cette définition vous pouvez faire passer les pervers pour des victimes et les victimes pour des pervers : soit très précisément ce que vous me reprochez projectivement.

La définition de la pensée perverse est ICI !

Votre avez « glosé » cette définition à diverses reprises en la qualifiant d’absurde... vos divers commentaires (pervers = inverse) sur cette définition sont ICI !

Ce qui est totalement absurde, c’est de pouvoir soutenir que Racamier ait pu donner une définition de la pensée perverse relative à la perversion narcissique dans sa propre théorie, tout en reprenant le concept, en le pervertissant pour enfin lui attribuer un sens dont vous seul avait la maîtrise à l’encontre même de Racamier, l’auteur de la théorie de la perversion narcissique et du concept de pensée perverse que l’on ne retrouve que chez lui.

Seul un « fou » peut se croire capable d’une telle prouesse. On en comprend l’utilité qui est celle de réassigner les victimes en pervers et les pervers en victimes.

Moralité : vous ne comprenez strictement rien de la pensée de Racamier, de son oeuvre et de ses concepts, mais vous pouvez déclarez en vous victimisant, comme vous avez l’habitude de le faire lorsque l’on vous mets le nez dans vos excréments, que, je cite : « ... je peux dire sans modestie, que je lui [Philippe VERGNES] ai appris à lire Racamier et bien d’autres choses encore... »

Pauvre « fou » ! Et tout ça sans jamais avoir ouvert un livre de Racamier. (Le « petit » Racamier, comme vous le nommez n’est pas un de ses livres, mais seulement la réédition de deux chapitres de l’un de ses livres.)

J’ai vraiment peine pour vous.

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