doctorix, complotiste doctorix 4 mai 2018 08:46

Le 5 septembre 2013, dans les pages du New York Times, Alan Pinkas, ancien conseiller général israélien à New York et membre de l’élite politique conservatrice de Tel Aviv, a décrit en ces termes le conflit syrien : « Il s’agit d’une situation de déséquilibre dans laquelle il est nécessaire que les deux parties [le gouvernement d’Assad et les rebelles] perdent : nous ne voulons pas qu’il y ait un vainqueur. (…) Nous laissons les deux se saigner et mourir par hémorragie : c’est notre approche stratégique : tant que le conflit se prolongera par la Syrie, il ne se produira aucune vraie menace pour Israël. »

Il est impossible d’être plus clair. Le plan israélo-américain en Syrie n’a jamais été d’aider les citoyens de ce pays, mais de s’assurer l’effectif démembré de la Syrie, afin de poursuivre les « objectifs stratégique » conçus par l’État hébreux.

Le 9 octobre 2015, Tomas Alcoverro, correspondant au Moyen-Orient pour le quotidien La Vanguardia de Barcelone, a ainsi écrit à propos des attaques lancées par les gouvernements de la Russie et de la Syrie de début octobre 2015 : « Si cette offensive conjointe a du succès, le plan américain de fomenter la guerre de friction pour porter à l’épuisement les deux factions, partira en fumée. »

Mais, les Américains et les Israéliens ont eu leur plan contrarié par le président russe Poutine qui les a démasqués.

Sacré Poutine !

Vous comprendrez pourquoi on l’aime bien !


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