@Christian Labrune
Mes seules réserves étaient sur le principe d’une stricte
proportionnalité au niveau des instances représentatives, laquelle
condamnerait à ce « jeu des partis » dont parlait De Gaulle, à ces
gouvernements de la quatrième république dont l’espérance de vie se
comptait plus souvent en mois voire en semaines qu’en années.
Je vous suis sur ce risque, mais alors il faudrait user de deux moyens.
Sur certains sujets cruciaux , faire des votations comme en Suisse.
pour l’assemblée nationale, des études ont défini qu’une dose de proportionnelle entre 20 et 30 %
permettrait aux partis d’avoir un groupe, et n’entraverait pas le fonctionnement d’une majorité , donc éviterait les coalitions hasardeuses.
nos conceptions se rapprochent.