@ velosolex
Ce sont deux phares du romantisme, ils écrasent le reste, je crois. Je ne me rappelais plus que la vie de Géricault avait été si brève (il est mort à 33 ans). Et question art mortuaire :
’[Géricault] va jusqu’à exposer dans son atelier des restes humains. Grâce à
l’entremise d’un ami médecin à l’hôpital Beaujon, proche de son atelier,
Géricault peut obtenir des bras et pieds amputés, afin de les étudier.
De même, il dessine plusieurs fois une tête coupée, obtenue à Bicêtre, où se trouvait une institution qui était tout à la fois hospice, prison et asile d’aliénés. Selon Charles Clément, son biographe, une puanteur étouffante régnait parfois dans son atelier de la rue du Faubourg-du-Roule.’