Christian Labrune Christian Labrune 17 mai 2018 10:53
Par contre j’ai rien à échanger avec quelqu’un qui défend le gouvernement fasciste de Nattanyahou tueur d’enfants et de civils désarmés futur inculpé pour crime contre l’humanité par le Tribunal Pénal International qui fait un sort abject à des palestiniens qu’il tient dans une grande prison à ciel ouvert.
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@Mohamed Takadoum.

Quand on sait ce qui s’est passé ces derniers jours, la cause du massacre :

et la cause, aussi, de son interruption grâce à une intervention musclée du chef de la Sécurité égyptienne représentant à Haniyeh que si Israël frappait les assassins planqués qui obligent des femmes et des enfants à aller se faire tuer, l’Egypte ne ferait rien pour s’opposer à de telles éliminations ciblées, et très probablement, en tout premier lieu, à la sienne.


Quand on sait cela et qu’on vous voit prêter à Netanyahou des comportements et des intentions qui sont ceux d’un groupe terroriste néo-nazi dont j’ai signalé sur cette page même la charte très explicite, on voit très clairement ce que peut valoir votre sale propagande.

Par ailleurs, les Juifs étaient 230 mille au Maroc en 1945. Ils n’y sont même plus quatre mille, et ceux qui restent, s’ils ne veulent pas y être trop maltraités, comme cette femme dont vous nous aviez présenté un bouquin, sont obligés de se comporter en dhimmis, de cracher sur Israël, de hurler avec les loups et de se faire les défenseurs d’une « cause palestinienne » qui cherche désormais le soutien de l’ennemi chiite iranien et se trouve donc traitée avec de plus en plus de mépris par les décideurs responsables des états sunnites du Moyen-Orient et bientôt du Maghreb. N’est-ce pas le Maroc qui a déjà fait récemment fermer l’ambassade iranienne à Rabat ? Sans le soutien de l’Iran, l’islamo-fascisme du Hamas n’existerait déjà plus. Le Hamas, émanation des Frères musulmans, fait partie des ennemis du Maroc. Vous ne le saviez pas ?

Ben Salmane aura répété, ces derniers temps, que les Palestiniens avaient fait délibérément capoter toutes les négociations qui leur auraient permis de disposer d’un état. Ils n’avaient donc plus désormais qu’à accepter ce qu’on voudrait bien leur accorder, ou à cesser de se plaindre. La Ligue Arabe peut difficilement être moins critique que le discours imbécile de la presse antisémite et des chancelleries occidentales à propos des « massacres », mais ses condamnations sont de pure forme : elle a d’autres chats à fouetter. Elle traîne comme un boulet un fanatisme palestinien d’inspiration néo-nazie (voir déclarations récentes d’Abou Mazen) totalement indéfendable et qui, désormais, la dégoûte profondément.

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