eddofr eddofr 16 mai 2018 17:01

Face à un phénomène prévisible, on peut, soit tenter de traiter les causes pour faire mentir la prévision, soit tenter de de traiter les effets (surtout si on n’est pas certain des causes) pour en limiter les conséquences néfastes.


Au moins votre article ne nie pas le phénomène de réchauffement climatique en tant que tel (sans présumer des causes, anthropiques ou non).

Essayer de limiter notre impact écologique, c’est bien.

Si cela se limite à vouloir, à n’importe quel prix, limiter notre impact carbone, cela peut être totalement inutile, voire carrément contre productif.

Nous sommes confrontés à de nombreuses problématiques écologiques, provoquées ou non par l’activité humaine (disparition d’espèces, proliférations d’espèces allogènes, raréfaction de l’eau potable par pollution ou assèchement, ...).

Toutes sont lourdes de conséquences potentielles et mériteraient d’être étudiées et traitées.

Par ailleurs, si effectivement le réchauffement climatique ne résulte pas de l’activité humaine (ce qui reste à questionner, car la tendance lourde que vous illustrez (le trait rouge) me semble assez proche « à vue de nez » de la courbe d’évolution de la population mondiale depuis 1500) il n’en existe pas moins.

Et il serait peut-être utile d’en étudier plus attentivement les conséquences possibles pour se prémunir de certaines, et tirer profit d’autres  : pouvoir cultiver des Agrumes à Lille, c’est peut-être une opportunité !

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