Olivier 17 mai 2018 15:14

La servilité de la presse n’a d’égale que celle de la justice : n’oublions pas comment elle a lancé l’affaire Fillon au moment opportun parce qu’il faisait de l’ombre à Macron (depuis on n’en entend plus parler, c’est dire si c’était sérieux !)


Mais cela est logique puisqu’il s’agit dans un cas comme dans l’autre d’instruments du système, qui ont reçu l’ordre de faire élire, le mot n’est pas trop faible, le politicien choisi pour servir ce même système. 

En l’occurrence il s’agit de Macron mais ça aurait trés bien pu être un autre acolyte, ça n’aurait eu aucune importance puisque c’est le même maître qu’on sert !

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