njama njama 26 mai 2018 16:29
Les statistiques sur le cancer anal (biaisées comme l’article de Gérard Delepine le démontre) viendraient-elles au secours du Gardasil, car celles sur le cancer du col de l’utérus semblent très nettement insuffisantes pour convaincre de se faire vacciner ?

Sachant que « par an, il naît un peu plus de 400 000 filles susceptibles d’être la cible de ce vaccin », et que la protection contre le cancer du col de l’utérus concernerait au final seulement 144 femmes !

On apprend que dans 3 études réalisées à Reims, Amiens et Besançon le portage d’HPV à haut risque concerne 14 à 15 % de la population soit 60 000 femmes.

Parmi ces dernières 2 à 3 % sont porteuses des HPV 16 et 18 prédisposant au cancer du col et présents dans ce vaccin soit 1 800 femmes.

Dans 90 % des cas, ces virus s’éliminent naturellement dans l’année il ne reste donc que 180 femmes concernées.

Elles ne seront protégées que contre 70 % des virus à haut risque soit 144 femmes.

(chiffres indiqués dans cet article de 2007 publié ici sur AV par LNPLV (Président de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccination) on obtient donc un taux de protection effectif de l’ordre de 0,036 % voilà l’efficacité réelle ... pour un vaccin qui protégerait contre 2 (Cervarix) ou 4 (Gardasil) des 60 papillomavirus.

Quand on arrive à une efficacité aussi dérisoire, quel est l’intérêt de cette vaccination ? avec un bon placebo 100 fois moins cher, ou quelques recommandations d’hygiène, on peut obtenir le même résultat











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