Jason Jason 8 juin 2018 11:38

@Nicole Cheverney


« Je pense qu’avant de s’attaquer au « salaire », il faut s’attaquer à l’ADN du capitalisme : la banque, le prêt et le taux d’usure ». Auxquels il faut ajouter l’exploitation de l’homme par l’homme, et la captation des plus-values que sont les profits. Les trois aspects que vous décrivez [banque, prêt, taux d’usure] ne sont qu’un aspect de la manière de faire fructifier le capital. Il faut prendre en compte la spéculation mobilière ou immobilière et l’entreprise sous ses formes sophistiquées d’aujourd’hui. je concède toutefois que les entreprises ne peuvent exister sans les banques. je note aussi que les banques, en tant que prêteurs et investisseurs font pression sur les entreprises pour maximiser les retours sur investissements.

Les machines à créer de la plus-value sont diverses. Et les mécanismes servant à redistribuer cette plus-value à travers les politiques des Etats, sont déséquilibrés en faveur des détenteurs de capital (en général de patrimoine).

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