Alren Alren 13 juin 2018 13:40
@raymond

L’auteur n’a pas utilisé un argument décisif : il y a des individus qui réussissent mieux que les autres aux tests de QI qui n’ont pas une vie professionnelle brillante.

Si un des traits de l’intelligence est la capacité d’adaptation, pourquoi des chercheurs du CNRS préfèrent-ils abandonner les laboratoires pour aller élever des chèvres dans la montagne ariégeoise ?

Si un enfant brillant intellectuellement naît dans un milieu défavorisé socialement et intellectuellement, il ne pourra faire les études qui permettront à son gros QI de se manifester professionnellement.



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe