Ce qui concerne Amazon, la FNAC et autres sites de vente en ligne.
" De quoi faire réagir la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), qui exige le « retrait de cette mesure« .
Pour en démontrer l’absurdité, elle prend l’exemple d’un colis stocké à
Lille et commandé par un habitant de Toulouse. Dans ce cas, la taxe
s’élèverait à 447,50 euros. Et dire qu’on pensait que l’histoire des 7000 dollars de frais de port facturés à une Américaine sur Amazon pour du papier toilette ne pouvait arriver qu’aux États-Unis. (...)