DARWIN : LA RACE EXISTE PAS L’ESPÈCE
Le livre de Darwin s’appelle « Origine des espèces » sous titré « par préservation des races dans la lutte naturelle » , car seules les filiations comptent, la lignée, il n’y a pas d’essence de l’espèce, ni animale ni humaine, pas de forme platonicienne... d’homme « universel » comme le croit gogochon (le poulet déplumé de Diogène lancé à Platon qui cherche « l’Homme » sur la place de l’Agora).
L’individu est réalité première (Darwin est un nominaliste) et la race seconde, l’espèce n’est qu’une formalité arbitraire de classement, une « boite » virtuelle.
La barrière de l’espèce s’établit ensuite après maintes mutations, mais un mulet peut encore être fertile, un zèbre se croiser avec un cheval, un loup avec un lycaon