njama njama 11 juillet 2018 15:59
La violence est assez locale au Mexique, c’est loin et très loin d’être partout. Elle est liée pour l’essentiel au trafic de drogue, et à la prostitution, il y a des mafias (comme en Italie) et faut pas les emmerder.
Les enlèvements d’enfants sont devenus moins fréquents, la justice est très sévère dans ses verdicts là-dessus, la famille c’est sacré au Mexique. Florence Cassez a eu beaucoup de chance d’être libérée (combien la France a-t-elle payé pour sa libération ?), les mexicains n’ont pas du tout apprécié sa libération.

Faut pas que l’arbre cache la forêt, la majeure partie du pays est très paisible, les mexicains eux-mêmes disent où il ne faut pas aller.

Le Mexique c’est quatre fois et demi la France, mais surtout une République Fédérale, 32 États, et faire avancer les lois à un niveau (supra)national dans une telle organisation politique qui est une usine à gaz, c’est très très compliqué. Les syndicats sont très mal vus ...

Et puis il y a le poids de l’influence très conservatrice.de l’Église catholique... pas sûr que ce nouveau président socialiste aura ses faveurs, la théologie de la libération, proche du mouvement zapatiste n’a pas le vent en poupe.




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