« Après les dures épreuves électorales françaises et allemandes permettant aux deux grandes puissances européennes d’éviter des gouvernements populistes,... » etc
Le mot « populisme »
a conquis une place prédominante dans les commentaires politiques comme celui
de l’auteur pour désigner des phénomènes qui étaient pensés auparavant comme
relevant de l’extrême droite. Cette interprétation voit dans le FN (devenu RN)
le premier parti ouvrier de France. Certains observateurs considèrent que les
groupes « populaires » sont les principaux soutiens de ce parti. Cette
« vision » des choses (qui n’est même pas une analyse) est infondée.
Elle interprète et déforme la réalité pour imposer la figure fantasmatique d’un
peuple qui menacerait la stabilité de la »démocratie », et dénie la
réalité sociale et morale des comportements politiques des groupes populaires,
ce qui évite de les prendre en compte.
Le reste de l’article
est à l’avenant.