sls0 sls0 15 juillet 2018 05:09

Avant hier une bonne partie de la ville était innondée.

Un reste de cyclone et du relief c’est suffisant.
A voir les plaques d’asphalte enlevée et la taille des cailloux, certaines rues qui se transforment en torrent ont vu passer l’eau à 5-8m/s, c’est pas mal pour de l’eau.
La rivière principale n’a pas trop gonflé, c’était local, c’est un rio local qui a foutu le bordel.
Il faut dire que l’urbanisation chez moi c’est le foutoire.
Il y a des gens qui se posaient des questions, je leur ai montré un carte d’état major des années 60, à l’emplacement de leur maison il y avait le rio Madre Vieja, une rivière à tresse donc très rapide. Sa largeur 364m de tresses.
Maintenant c’est 4m, cherchez l’erreur dans une zone à pluie diluvienne importante.
Dans une région à relief et à pluies diluviennes, l’innondation est normal et l’homme n’est pas étranger à l’amplification des dégâts.
Difficile de prendre un exemple local comme justificatif pour un effet mondial.
Même chose pour les conditions chaudes localisées, pour le continent américain je fais plus confiance à el Niño. Il y a de plus en plus un consensus d’un effet el Niño pour la disparition d’une grosse partie de la civilisation maya.
La Californie n’est pas à l’abri d’une période el Niño. Il y a pas si longtemps ils ont envisagé le ré-emploi d’eau de fracturation hydraulique, un peu dégueu cette flotte.

Donc on évite de prendre du local et impressionant pour justifier du général. C’est vrai qu’une canicule ou des innondations ça attire plus et ça dégage des revenus publicitaires.

Donc ces cas localisés ne sont pas du tout une preuve du réchauffement climatique.

Par contre depuis le temps qu’on prend des températures, là on voit que d’une manière générale il y a un réchauffement.
C’est surtout avec les sattelites qu’on a vraiment du général.
Les mesures de la température de la mer même si c’est localisé c’est une bonne indication.
Les températures localisées de l’air grâce aux relevés sattelites et locaux en parallèle on connait les taux de pondération.
Bref, ça se réchauffe alors qu’astronomiquement parlant ça devrait se refroidir.
Le Giec a été crée à l’origine pour répondre à cette bizarrerie.
Au début du XXème siècle il y a bien une personne qui avait fait une règle de trois par rapport à la production de CO2 et pris en compte pour extrapoler l’effet de serre. Ses travaux n’ont pas fait tilt à l’époque et son nom a été oublié surtout par moi (je me rappelle plus son nom et je suis trop fainéant pour chercher)
Le Giec a fait le lien avec le CO2, le méthane et d’autres gaz à effet de serre.
Pourquoi on focalise sur le CO2 ? Il y a la vapeur d’eau qui intervient pour beaucoup plus.
Il se trouve que la vapeur d’eau se régule tout seul, s’il y en a trop il pleut.
Le CO2 ce salaud, est le seul à renvoyer une longueur d’onde d’infrarouge non pris en compte par la vapeur, il a de l’influence car il joue dans son coin. La goutte qui fait déborder le vase.
Le problème du CO2 c’est qu’il est fortement corrélé à notre style de vie et de grosses multinationales, on comprend que psychologiquement il puisse avoir des réticences sur son effet.

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