@Jean Keim
C’est ce que les mauvais perdants ne parviennent pas à piger :
Macron n’a enthousiasmé personne, mais avec son programme de « continuité dans la rupture » et de « tout changer pour que rien ne change », il a pu être suffisamment rassurant pour beaucoup, contrairement à Fillon, Le Pen ou Mélenchon, qui étaient tous des candidats du saut dans l’inconnu (Fillon ayant réussi à se carboniser tout seul avec un programme anti salarié)
On a le droit de trouver ça mal mais c’est comme ça.
Bon, ils préféreront écrire encore 25 bouquins d’ici dans 4 ans pour nous détailler ce « vol d’élection » comme dirait Fillon.