@Kapimo
oui, certes, mais les médias sont partiaux, on le sait depuis longtemps.
Les « éditocrates » sont pro européens, pourquoi auraient-ils été objectifs avec Marine Le Pen ?
En 2005, ça n’a pas empêché un vote non massif. Donc il n’y a pas que ça.
C’est le désavantage intrinsèque de celui qui veut vraiment changer :
comme on ne sait jamais ce qu’on va avoir, il est toujours plus rassurant de dire qu’on conserve ce qu’on a. Maintenant, c’est un débat vieux comme le monde, à charge pour les candidats « de la rupture » de l’expliquer.
Mais Marine Le Pen ne voulait pas être élue.
Et Mélenchon s’est fait mousser avec une 6e république bidon.
Voilà les choses toutes simples.