Christian Labrune Christian Labrune 27 juillet 2018 10:58

@Elric Menescire


Dans le commentaire que je faisais, je commençais par une petite réserve sur les termes que vous aviez employés, mais finalement, j’apportais de l’eau à votre moulin. Finalement, je suis bien d’accord : sans la crédulité des masses fanatisées, il n’y aurait pas de fascisme, et cette assemblée de godillots qui se lèvent périodiquement pour applaudir des ministres inconsistants à la botte du chef, c’est très inquiétant.

Il reste que votre défense de Mélenchon m’induirait plus que jamais à prendre des distances. Mélenchon est bien un fasciste. Il a cela de commun avec un Erdogan, que son modèle de tribun face à des publics fanatisés, c’est Mussolini, et ses troupes complices de l’isamo-fascisme et de l’antisémitisme atroce qui va avec me donnent régulièrement envie de vomir. Ce Tartufe avait eu l’audace de vouloir rejoindre la marche silencieuse après l’assassinat de Mireille Knoll et il en avait été viré manu militari, ce que j’avais approuvé sans réserve.

Il respecte les lois de la République, dites-vous. Je vois mal comment, étant dans l’opposition et aspirant à prendre le pouvoir, il pourrait faire autrement. Celui qui allait devenir le Führer de l’Allemagne n’est pas arrivé au pouvoir en 33 par un coup d’état, mais par les urnes.

Et que se propose-t-il, s’il arrive au pouvoir, ce sinistre personnage ? De faire régner LA VERTU, peut-être ? Il me semble même que vous citez ce mot. Mais la vertu, on a déjà pu voir à quoi elle avait pu conduire, avec un Robespierre, les terroristes de 93. On a déjà donné. Merci.

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