velosolex velosolex 28 juillet 2018 23:24

@alinea
De plus je ne vois pas à quel moment vous avez pu avoir eu le sentiment que je vous ai pris pour une imbécile. J’ai simplement mon opinion sur l’homéopathie que je ne peux refouler, pour vous faire plaisir. Rien ne sert de caricaturer ma pensée par contre, car à aucun moment je ne me fait le chantre des antibiotiques utilisés n’importe comment. 

Ceci dit, ils ont sauvés ma mère, victime d’une fièvre puerpérale en son temps. C’était une époque où le pénicilline était balbutiante. C’était après la guerre, elle était difficile à obtenir. On peut dire qu’elle a eut de la chance, et moi aussi. Le film admirable « le troisième homme » tourné en 49, et dont je crois vous avoir déjà parlé en d’autres temps, chef d’oeuvre absolu pour moi, incarne bien une dialecitique oubliée depuis quelques temps : Le bien le mal, l’urgence d’un choix, dans une ville elle même déchirée, par la misère et la guerre, ou les fondamentaux sont clairs. 
Un trafiquant corrompant des doses d’antibiotiques pour les revendre frelatés à d’innocentes victimes. C’était une époque où les infections étaient récurrentes, et où personne ne remettait en question la valeur de cette découverte. Que des médecins stupides et corrompus la distribue pour tout et n’importe quoi, sur instance des labos, et entraîne maintenant des souches résistances quand on en a besoin, ne met par la validité de ce produit en jeu, mais la qualité des gens et leur cynisme. Tout médicament à une posologie idéale, une indication, sinon il peut devenir mortel. 
Le Troisième Homme | Les Cinémas du Grütli Genève

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