velosolex velosolex 29 juillet 2018 00:14

Bon article. Putain de capitalisme ; la voix de la grande catastrophe depuis qu’il n’y a plus de mythe de la frontière. Marx avait déjà tout vu tout compris, mais n’avait pas anticipé cette grande ruse de la mondialisation sauvage, ou s’est ruée la bête aux abois, pour se donner toujours un peu d’air. 


Car maintenant qu’elle ne peut plus enfoncer les portes et agrandir le monde, elle saute les frontières en nous montrant son cul. 

Les oiseaux, les animaux disparaissent, le vivant est liquidé sur l’autel des intérets majeurs, celui des actionnaires, qui rêvent d’accroire leur richesse. Il se fait tard, il règne dans l’air une odeur de grande catastrophe. Elle sera mondiale, car nous je jurons plus que par ce mot ! 
Serons nous toujours là le jour du lendemain

J’ai bien aimé « dans la forêt » de Jean England, récit des temps futurs....
Et aussi « dans le grand cercle du monde » qui parle si bien des premiers colons canadiens

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