@pjer. Les seuls qui aient relevé le défi de la domination éditoriale anglo-saxonne furent les défuntes éditions Mir, indissociables de l’URSS. Leur fond racheté par Springer, elles ne renaîtront jamais.
Le contexte géopolitique a peu changé : seuls les défieurs russes et chinois peuvent trouver de l’intérêt à créer une édition scientifique en Esperanto. Il ne faut compter sur personne d’autre.
Et cela exige des personnalités hors du commun, pour surmonter les obstacles.
Je ne verrai pas l’éventuel résultat de mon vivant.