Cateaufoncel2 9 août 2018 21:29

@Ouallonsnous ?

« Pas que, cela va de pair avec la promotion et célébration de la LGBT.. »

Evidemment, l’ouverture sur la pédophilie est la suite logique de la normalisation de l’homosexualité. Dès le projet de PACS, j’ai observé que la phase suivante de la « libération » sexuelle, serait l’abaissement de la majorité sexuelle (AMS). C’était tellement logique, dans la mesure où il ne restait presque plus rien à libérer

Ce que je n’avais pas prévu, en revanche, c’était l’entrée en lice d’universitaires de haut rang en faveur des pédophiles.

Les dernières informations qui me sont parvenues à ce sujet ont été mises en ligne aujourd’hui même sur le site du quotidien italien, Il Giornale. Je vous en livre quelques passages essentiels :

« Le 5 mais 2018, l’Université de Wurzburg, en Allemagne, a hebergé un « Ted Talk » (?) sur le thème « Futur Society ». Parmi les intervenants, il y avait aussi Mirjam Heine, une étudiante en médecine qui a fait un exposé controversé intitulé « Pourquoi notre perception de la pédophilie doit changer ».

« Comme on peut le lire dans le programme de l’événement, l’étudiante s’inspire des travaux d’un certain Dr Klaus Beier, directeur du département de sexologie de La Charité, l’un des meilleurs hôpitaux universitaires de Berlin.  »

Ici, se situe une phrase particulièrement intéressante, parce qu’elle montre que les « scientifiques » font leur part de boulot, sans avoir l’air d’y toucher, tandis que les « politiques » vont faire la leur, allant dans le sens de l’AMS, comme nous le démontre M. Bernard Luçon :

« Selon Heine, personne n’est responsable de son orientation sexuelle et de ses propres (c’est vraiment une façon de parler NdT) sentiments, « mais chacun est responsable de ses propres actions par rapport à eux ». En d’autres termes, donc, les pédophiles devraient être acceptés parce qu’ils ne peuvent pas changer leurs désirs. Eux, en revanche, ont le devoir d’apprendre à les contrôler. » C’est-à-dire tant que la loi n’a pas été modifiée en conséquence, ce qui, en France, est déjà bien engagé.

« L’étudiante raconte ensuite l’histoire de Jonas, 19 ans) un étudiant en droit de Munich, qui est attiré par les filles âgées de 6 à 12 ans : « Jonas a un secret qu’il ne peut partager avec personne. Ni avec ses parents ni avec son meilleur ami. Il a trop peur de la colère, du rejet et de la répulsion. Jonas sait qu’il doit le faire : renoncer pour toute sa vie à sa pulsion sexuelle. Il sait qu’il ne trouvera jamais un amour payé de retour (durée maximum, 6 ans, donc, NdT). Parce que Jonas est un pédophile attiré pes les fillettes ayant entre 6 et 12 ans. 

« Comme on le déduit de ses paroles, Jonas est donc une « victime » à l’intérieur de la société. Heine cite ensuite une recherche scientifique non précisée, selon laquelle il faudrait distinguer entre qui abuse sexuellement des mineurs et qui, en revanche, est seulement pédophile, mais ne cède pas à ses propres perversions

« Après cette introduction, l’oratrice cherche à convaincre l’auditoire que, selon la science, la pédophilie doit être acceptée en tant qu’elle est comparable à l’hétérosexualité, c’est-à-dire une orientation sexuelle comme une autre. »

« Heine poursuit son exposé et cherche à expliquer quelle est la différence entre la pédophilie et les autres orientations sexuelles. En quelques mots, la différence résiderait dans le fait que les pédophiles ne sont pas libres de parler de leurs préférences sexuelles, puisque dès qu’ils le font, se déchaîne un tollé général. Selon elle, nous devrions donc éviter de les isoler.

« Puis, toujours en citant des sources peu claires,  l’étudiante affirme que plus un pédophile est isolé, plus la probabilité augmente qu’il abuse d’un enfant. En substance son point de vue sous-entend que, pour une part, les pédophiles abusent, c’est aussi de notre faute. »

« Le docteur Klaus Beier auquel se réfère Mirjam Heine, en plus d’être directeur du département de sexologie de La Charité, est le concepteur d’un programme controversé de prévention pour pédophiles, toujours à l’intérieur du même hôpital universitaire. »

« Klaus Beier a accordé une interview au Times of India, en mars 2017. Ses propos font ressortir encore plus clairement le lien avec l’étudiante en médecine qui a tenu le Ted Talk. « La pédophilie est une réalité et les sociétés saines (sic !) doivent apprendre à l’accepter », affirme le médecin. Selon Beier, la perversion sexuelle envers les enfants est à considérer comme un « destin » (Schicksal), et non comme un choix, Pour cette raison, nous devrons l’accepter. »

Ce discours a de forts remugles de « déjà entendu ». C’était il y a une vingtaine d’années.

Si ce n’est déjà fait, il va passionner Libération, à qui rien de ce qui est minoritaire et discriminé n’est indifférent…


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