Israël , s ’ il n’ avait aucune légitimité a exister sur sa terre ancestrale , trois fois millénaire , et bien il ne s ’y trouverait pas .

Le peuple juif s ’y est de nouveau rassemble comme les prophètes d ’ Israël l ’ont prophétisé .

Note écrite dans le journal personnel de Herzl après le premier congrès sioniste à Bâle, le 29 août 1897 : « Si je veux résumer en quelques mots ce congrès de Bâle – je me garderai bien de le faire publiquement – c’est ceci : « J’ai fondé, à Bâle, l’Etat juif ». Une telle parole dite aujourd’hui à haute voix provoquerait certainement un rire universel. Peut-être dans 5 ans, mais sûrement dans 50 ans, chacun comprendra ». http://www.shalom-israel.in...

Quelle était la probabilité , pour que l’ année ou l ’ ONU proclame l ’indépendance de l ’Etat Juif retrouvé, un Bédouin découvre par hasard , un parchemin, vieux de 2200 ans, le Livre d ’Isaie qui vous explique :
« Il élèvera une bannière pour les nations, Il rassemblera les exilés d’Israël, Et il recueillera les dispersés de Juda, Des quatre extrémités de la terre. »

Quelle était la probabilité pour que Hertzl confirme les dires d ’Isaie, en 1897, et ne se trompe pas sur la date..

Je ne suis pas un croyant, mais en tant qu ’observateur rationnel , je suis bien forcé de constater q’une pareille accumulation de coïncidences a de quoi troubler le plus sceptique , a moins qu ’il ne se voile, irrationellement et Islamophilement, la face ..

La légitimité est toujours celle du plus Juste :

L ’Anatolie revient de droit aux Arméniens et aux Grecs , même s ’ils ne la récupèrent que dans 1800 ans, et en chassent l’ occupant Turc génocidaire .
Les Espagnols ont bien récupéré l’ Andalousie après 700 ans d ’occupation Arabe, et personne n’ exige qu’ elle soit rendue aux Arabes, à part pas mal
d ’Arabes nostalgiques . ..
La Judée et la Samarie relèvent du même cas de figure , avec en plus , les prophéties d ’un Livre , l ’ Ancien Testament , qui a priori n ’ a rien d ’un « testament ; » mais qui le devient à postériori « de facto ».... Et à priori « de jure » .