Christian Labrune Christian Labrune 13 août 2018 23:46
je vous dis qu’avant la proclamation de l’état d’Israel toutes les terres appartenant au fonds juif lui avait étés vendues par l’élite bourgeoise palestinienne , élite dont si vous connaissez l’histoire on a retrouvé les enfants a la tete
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@covadonga*722

C’est tout à fait exact. De vastes étendues de terres ont été achetées à de gros propriétaires qui vivaient souvent très loin. La politique des sionistes de l’époque n’était que l’application du projet de Herzl qui, dans L’état des Juifs, analyse très minutieusement ces mécanismes économiques, avec un souci très évident de ne léser aucune population.
Par ailleurs, tous les voyageurs qui ont pu traverser plusieurs fois la Palestine au début du XXe siècle s’extasient sur les progrès économiques de la région, lesquels profitent aux sionistes, certes, mais aussi bien aux populations locales qui survivaient là depuis des siècles d’une économie pastorale misérable et sans avenir.
Ce n’est pas la misère qui a suscité les révoltes arabes, mais la vieille haine antisémite qui ne supportait pas de voir que les dhimmis d’hier allaient peut-être bien devenir les décideurs économiques de la région. La responsabilité d’un Mohammed Amin al-Husseini qui deviendrait le mufti de Jérusalem en 22 et finirait dans la Waffen SS n’est pas pour rien dans ce qui a pu se passer dès la fin des années 20. L’idéologie infecte du bonhomme, associée à celle des Frères musulmans de Hassan el-Banna, laquelle commence à se répandre dans l’Egypte dès 1928, très bien soutenue déjà par les nazis, on la retrouve intacte dans les prises de position d’un Arafat, son neveu, et aujourd’hui chez les chefs terroristes de Gaza.


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