velosolex velosolex 14 août 2018 23:05
« Ces injures ne servent qu’à masquer un manque de réflexion... »
 Sans vouloir vous vexer, parfois vous me faites penser à mademoiselle Jeanne, la soupirante de Gaston, personnage d’ailleurs que j’aime bien, par rapport à sa belle fraîcheur. et son enthousiasme.
Mais enfin vos réflexions sont exactes. Si au moins ils maniaient l’injure avec classe, et s’ils faisaient preuve d’imagination en la matière, on pourrait l’admettre plus facilement.....
Ayant travaillé à l’accueil en psychiatrie, inutile de dire que j’étais bien mieux que sur les gradins pour observer cette lente dégringolade, sans imaginaire aucun, un déversement biliaire réflexe qui n’a même pas besoin du marteau. Nous venons de très loin....Cette après midi même, J’ai été surpris d’entendre sur france culture, radio à tort qu’on classe élitiste et qui au moins ne méprise personne ( au delà des z’embrouilles) ce retour en arrière daté 1967, sur l’enfance maltraitée. Au delà des témoignages bouleversants des enfants, de la voix de Truffaut, on est saisi de redécouvrir la richesse du vocabulaire de tous les jours, le calme et la tempérance même des enfants victimes, absolument résilients malgré leurs difficultés. C’était la voie de tous les jours, celle de la rue...Pour un peu j’aurais reconnu la mienne, moi à qui l’on disait « que j’étais dur ! » ..... C’est en replay L’année 1967 (4/4)
François Truffaut : « l’enfance malheureuse me passionne »

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