@Olivier Perriet
Si les naufragés et leur famille resté au pays savaient le risque qu’ils prennent en s’embarquant sur les rafiots des passeurs rapaces, pas sûr qu’ils s’embarquent.
Pensez à tous ceux qui sont morts dans le Sahara repoussé par les Algériens ou morts en Méditerranée : ils n’avaient pas envisagé que leur vie s’arrêterait si jeunes !
Une fois qu’ils sont naufragés, il y a urgence de les tirer de là, c’est un devoir moral absolu.
Et je le répète, il est impossible de les renvoyer en Lybie où ils sont maltraités sinon esclavagisés.