Michael Gulaputih Michael Gulaputih 19 août 2018 08:26

@Zolko

Je vous remercie de votre commentaire et je suis désolé.

Désolé d’avoir été trop long. Je prends note de cela. Votre remarque laisse entendre « trop long par rapport à la longueur des autres articles d’Avox ». Pour remédier à ceci je mettrais dans le chapeau de mes prochains articles le nombre de mots de ceux-ci. Ici 4325 sans le titre. Puis je les ferais plus court.

Je n’ai pas su vous faire comprendre qu’avant tout n’était pas mieux.J’ai été ravi d’avoir vécu ma jeunesse en 1960-80 et je n’aurais pas du tout ravi de la vivre en 1920-1940 ou 1620-1640. Par contre à toutes ces époques et contrairement à maintenant il y avait des projets d’avenir : on avait le sentiment que le futur serait toujours mieux que le passé. Mes grand-parents, par exemple ne citaient pas du tout leur enfance comme modèle de Paradis perdu !

Je suis vieux... et sans doute aigri comme vous le dites sans prendre de gants. Dans cet article -sans doute trop long- je cherche à illustrer que non seulement il n’y a plus de projets et de Messie porteur de projets que l’on aimerait suivre mais surtout que nous arrivons à la conjonction de deux phénomènes qui aboutiront certainement à faire dire aux jeunes de 2018, que quand ils auront 50 ans, « c’était mieux avant » !
Et cela sans contestation possible !

Il s’agit de la progression continue de notre mode effréné de consommation capitaliste alliée à une croissance démographique tout aussi effrénée. Tout ceci à l’échelle mondiale. Simultanément. Sur tous les continents. Et ça c’est une nouveauté absolu dans l’Histoire de l’Humanité.

Quant à me sorti les doigts du cul, figurez-vous qu’avant d’avoir 50 ans (et plus) j’ai eu 30 ans, 40 ans et que je voyais venir tout ce qui profilait à l’horizon. J’ai réfléchi longtemps avant de savoir de quelle façon je pouvais agir. J’ai milité, distribué des revues, adhéré à des associations, adapté mon mode de vie et de consommation à mes idées...Pour au final plier les gaules et partir là où l’herbe reste raisonnablement verte (et bien coupée)...

Je suis vraiment désolé que vous n’ayez retenu que le côté quinqua gémissant « tout était mieux avant ».

Bien à vous.

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