JC_Lavau JC_Lavau 23 août 2018 19:29

@arthes. L’avocate, souvent la magistrate, ce genre de féminazies ne sensualisent probablement pas leur guerre sexiste. De partout ont abondé les indices que leur sexualité est fort appauvrie. Le déni d’autrui est à leur insu leur règle de vie.

Au 21e siècle, elles sont généralement héritières, elles héritent de la guerre de leur mère.
Voir celle-ci par exemple :
http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=23:intimidations&catid=40:harclements&Itemid=57
 
Elle hurle que ce que Gardner a mal nommé « Syndrome d’Aliénation Parentale », ou en français courant, dressage des enfants à servir d’aide-bourreau (le plus souvent aide-bourrelle) d’un de leurs parents, ne saurait exister, doit être caché et que sa connaissance soit interdite aux tribunaux :

C’était transparent, et j’en ai eu confirmation complète ultérieurement : Hélène P*lm*. est elle-même un parfait exemple d’aliénation parentale, elle a bien contribué à maltraiter et persécuter son père, avant de calomnier et persécuter son mari, proclamant partout qu’elle était victime de violence conjugale et craignait pour sa vie.

Quand Jean-Luc Delarue a mis en débat le S.A.P., bête de scène astucieuse, il n’a convoqué que des cas où l’aliénateur était le père (absent), où la mère (présente) était victime. Dans tous les cas décrits, cet aliénateur était un histrionique.
L’éventail des femmes aliénatrices étant plus vaste, on croise davantage de pathologies : des hystériques, des perverses histrioniques, des paranoïaques, et des aliénatrices de mère en fille.

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